Bonjour à tous,
On ne pouvait passer à côté du dernier livre d’Archibald ! A la maison nous le suivons depuis des années et les minis sont fans de ces histoires ancrées dans le réel et dans lesquelles ils peuvent facilement s’identifier. Je vous ai déjà présenté d’autres ouvrages de la collection (comme ici ou ici avec celui-ci qui reste mon grand chouchou et me donne des frissons). Il en existe d’autres, que nous avons lu mais que je n’ai pas pris le temps de présenter (comme celui-ci dans lequel le papa rassurant donne confiance à son enfant face à ses craintes, celui-là sur le moment du coucher traité avec humour, celui-ci où Archibald réalise que même si il n’a pas la plus grande des maisons parmi son entourage, c’est la sienne qu’il préfère pour les gens qu’il y a à l’intérieur. Sans oublier celui-ci sur l’arrivée de sa petite soeur, ou celui-là pour surmonter les difficultés et surtout mettre en lumière les qualités de chacun. De quoi se faire une belle collection de livres bienveillants à lire et relire pour le plaisir !
Dans ce nouvel ouvrage, le texte est simple, et la réflexion abordable pour les enfants comme toujours. Nous prenons une nouvelle fois rendez-vous avec la poésie et la philosophie pour s’intéresser à un mal qui ronge notre société actuelle. C’est un livre qui nous amène (parents et enfants) à prendre du recul sur notre façon de consommer, ou sur-consommer, des objets qui ne nous sont pas forcément utiles pour notre bonheur. Il faut dire que les tentations sont multiples.
Ces objets, souvent, nous les entassons, nous les enfermons, nous les stockons. Au final, nous n’en profitons pas toujours de ces choses qui nous faisaient pourtant tant rêver.
des pages aux illustrations lumineuses, qui nous amènent dans un univers de douceur et de confiance
Alors, le petit garçon prend conscience de tous les trésors autour de lui dans la nature, les choses « simples (les pommes du pommier qui font son gouter, le chant des oiseaux qui lui apprend à chanter, les rivières pour nager l’été, la lune qui l’éclaire la nuit pour le rassurer…), , ces choses qui l’émerveillent , dont il peut profiter, alors qu’elles ne lui appartiennent pourtant pas. Et si le bonheur était finalement dans les choses simples ? Ces trésors tout autour de nous, on ne peut les acheter, et pourtant à ses yeux, ce sont eux qui sont le plus précieux !
Le bonheur se trouve-t-il dans « l’avoir », ou dans « l’être » (ou un peu des deux ?)?
Vous avez 2 h haha !!
A bientôt pour un nouvel article 🙂
2 Comments
Bonjour,
Merci pour cet article. Encore une belle découverte. Je connais les titres phares mais suis passée à côté de celui-ci.
Clairement, pour moi, le bonheur est dans l’être. C’est du moins ce que je m’évertue à transmettre à mes enfants. Ce n’est pas toujours évident, dans cette société de consommation, voire de surconsommation où nos possessions semblent définir notre personne et notre valeur.
bonjour, que je suis ravie de vous avoir fait découvrir ce nouveau titre et de lire votre commentaire, Merci ! Je vous rejoins totalement sur votre analyse, c’est une bonne chose que les gens et que nos enfants en prennent conscience !